mardi 27 juillet 2010
lundi 19 juillet 2010
mardi 13 juillet 2010
Les autochtones s'opposent à la célébration du bicentenaire
Les organisations autochtones ont rejeté les célébrations pour le centenaire de la Révolution et le bicentenaire de l'indépendance, tant que les "peuples autochtones" sont exclus de l'état.
"Les populations autochtones restent marginalisées, discriminées et oubliées, disaient-ils à l'issue de la rencontre nationale pour la ré-articulation du mouvement indigène.
En acceptant de coordonner leurs luttes et les efforts pour éviter l'isolement, pour arrêter la persécution des militants sociaux et d'arrêter le démantèlement des stations de radio autochtones, les participants en groupes de Guerrero, Puebla, Veracruz, Michoacán, de Campeche et Oaxaca ont déclaré que les peuples autochtones continuent d'exiger inclusion dans la Constitution de l'État: «Il est nécessaire de faire une réflexion profonde de ce qui a un sens et les implications de ces deux faits historiques, parce que la justice n'est pas venu pour les peuples autochtones."
Dans le document de conclusions, les participants ont noté que 30 organisations poursuivront leur demande de reconnaissance des garanties contenues dans la déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones et la Convention 169 de l'Organisation internationale du Travail.
"Les populations autochtones restent marginalisées, discriminées et oubliées, disaient-ils à l'issue de la rencontre nationale pour la ré-articulation du mouvement indigène.
En acceptant de coordonner leurs luttes et les efforts pour éviter l'isolement, pour arrêter la persécution des militants sociaux et d'arrêter le démantèlement des stations de radio autochtones, les participants en groupes de Guerrero, Puebla, Veracruz, Michoacán, de Campeche et Oaxaca ont déclaré que les peuples autochtones continuent d'exiger inclusion dans la Constitution de l'État: «Il est nécessaire de faire une réflexion profonde de ce qui a un sens et les implications de ces deux faits historiques, parce que la justice n'est pas venu pour les peuples autochtones."
Dans le document de conclusions, les participants ont noté que 30 organisations poursuivront leur demande de reconnaissance des garanties contenues dans la déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones et la Convention 169 de l'Organisation internationale du Travail.
"Nous exigeons que les gens soient reconnus comme sujets de droit et qu'on assure en tout temps le droit à l'autodétermination, l'autonomie et la consultation libre, préalable et éclairé, ce qui conduit à une profonde réforme.
"Nous sommes unis pour que nos propositions soient examinées sérieusement et profondément dans les grandes questions non résolues, appel à un contexte multiethnique, multiculturel et multinational" disaient-ils.
Ils ont fait appel aux organisations originaires pour faire converger en un seul mouvement, pluriel et solidaire, émettre des propositions législatives ainsi que d'être un instrument de la population autochtone afin de refonder l'État.
Enfin, ils ont invité les gens à écrire leur histoire et mettre fin au silence autochtone.
"Nous sommes unis pour que nos propositions soient examinées sérieusement et profondément dans les grandes questions non résolues, appel à un contexte multiethnique, multiculturel et multinational" disaient-ils.
Ils ont fait appel aux organisations originaires pour faire converger en un seul mouvement, pluriel et solidaire, émettre des propositions législatives ainsi que d'être un instrument de la population autochtone afin de refonder l'État.
Enfin, ils ont invité les gens à écrire leur histoire et mettre fin au silence autochtone.
Une ''voiture du bicentenaire'' fabriquée au Mexique
Le groupe automobile allemand Volkswagen, premier constructeur automobile européen, a lancé mardi (20 avril) la construction d'un nouveau modèle baptisé "voiture du bicentenaire", qui sera produit exclusivement au Mexique, a-t-il annoncé mercredi.
Le nouveau modèle, "fabriqué exclusivement au Mexique pour les marchés mondiaux", sort l'année du bicentenaire de l'indépendance du Mexique, ancienne colonie espagnole, et sera produit dans la seule usine mexicaine du groupe allemand, à Puebla, près de Mexico, indique-t-il dans un communiqué.
Volkswagen n'a révélé aucun détail technique sur cette voiture, dont la présentation au public est prévue au second semestre de 2010, a seulement indiqué le groupe.
Ce modèle sera produit dans une nouvelle extension de l'usine qui a coûté 410 millions de dollars (305 millions d'euros), a ajouté Vlokswagen, précisant qu'il consacrerait un total de 1 milliard de dollars au développement du nouveau modèle.
L'usine de Puebla recrutera 500 nouveaux salariés, qui s'ajouteront aux 9.200 de son effectif actuel, a précisé le constructeur.
L'usine de Puebla produit actuellement 1.600 exemplaires par jour de modèles essentiellement destinés au marché local et aux Etats-Unis, dont la Beetle en version classique ou décapotable en exclusivité mondiale.
Le nouveau modèle, "fabriqué exclusivement au Mexique pour les marchés mondiaux", sort l'année du bicentenaire de l'indépendance du Mexique, ancienne colonie espagnole, et sera produit dans la seule usine mexicaine du groupe allemand, à Puebla, près de Mexico, indique-t-il dans un communiqué.
Volkswagen n'a révélé aucun détail technique sur cette voiture, dont la présentation au public est prévue au second semestre de 2010, a seulement indiqué le groupe.
Ce modèle sera produit dans une nouvelle extension de l'usine qui a coûté 410 millions de dollars (305 millions d'euros), a ajouté Vlokswagen, précisant qu'il consacrerait un total de 1 milliard de dollars au développement du nouveau modèle.
L'usine de Puebla recrutera 500 nouveaux salariés, qui s'ajouteront aux 9.200 de son effectif actuel, a précisé le constructeur.
L'usine de Puebla produit actuellement 1.600 exemplaires par jour de modèles essentiellement destinés au marché local et aux Etats-Unis, dont la Beetle en version classique ou décapotable en exclusivité mondiale.
Source: Auto Nouvelobs
Expression mexicaine
Les terminales du lycée de NPFS Mexique dévoilent les peintures murales qu’ils ont peintes pour célébrer le bicentenaire du Mexique.
Cette année, le Mexique célèbre son bicentenaire, et les enfants de Nos Petits Frères et Sœurs (NPFS) Mexique montrent leur soutien au travers de programmations spéciales tout au long de l’année. Afin de mieux comprendre l’indépendance du pays, nos élèves de terminales ont entrepris le projet spécial d’embellir le coin de la cour des sports de l’école avec des peintures murales qu’ils ont peintes. Chaque peinture murale, un grand nombre étant des répliques de tableaux connus d’artistes dont Diego Rivera et José Clemente Orozoco, représentait une facette de la culture mexicaine.
Mercredi 21 avril, nos élèves ont eu l’occasion de montrer à leurs pairs, aux enseignants, aux directeurs, et aux voisins ce sur quoi ils avaient travaillé au cours de ces derniers mois. Durant une cérémonie spéciale de dévoilement au lycée, une foule conséquente s’est rassemblée pour observer les peintures murales, dévoilées par les membres du personnel de NPFS. Au début de la cérémonie, le Père Phil Cleary, Rafael Bermúdez, Directeur National de NPFS Mexique, et d’autres membres du personnel du lycée ont participé au rituel de coupage de ruban pour démarrer les festivités.
Les nouvelles peintures murales se nomment comme suit :
"Cuauhtemoc" une reproduction du travail du Maître Jesús Enrique Helguera
"Congreso del Estado de Jalisco" une reproduction du travail de José Clemente Orozco
"Sueño de una tarde dominical en la Alameda Central" une reproduction partielle du travail de Diego Riviera
"La Profecía de la Raza Cósmica" une reproduction du travail du Maître Aarón Piña Mora
"Mercado de Tlaltelolco"une reproduction partielle du travail de Diego Riviera
"Eco de nuestra historia" œuvre originelle de David B.V.
À la fin des présentations, nos lycéens spécialisés dans le tourisme ont apporté des hors d’œuvres et des boissons qu’ils avaient préparés. C’était le moment idéal pour que les membres du public se mêlent aux artistes et leur posent des questions sur leur peinture murale. La fierté qu’affichaient les visages de nos lycéens – de ceux qui avaient peint et créé les pentures murales à ceux qui faisaient passer les rafraîchissements – était évidente. Cela a été un merveilleux temps fort de leur dernier semestre de lycée.
Source: Nuestros Pequeños Hermanos Haïti
Le Mexique discute de son identité nationale
Tandis que la France s’éloigne d’un certain débat sur l’identité nationale, les commémorations des Bicentenaires installent le sujet dans plusieurs pays d’Amérique Latine. Au Mexique, il prend, entre autres, la forme d’une émission de radio et de télévision intitulée Discutamos México 2010
Les débats, diffusés aux Mexique sur deux stations de radio et sur deux chaînes de télévision, est divisé en 23 sujets qui vont de "Les Mexicains, qui sommes-nous ?" à ’Un Mexique pour les prochains 100 ans" en passant par "La pensée dans le monde ancien", "Droits de l’Homme" ou "Métissage et diversité".
Par ailleurs, dans les pages créés spécialement sur internet, tous les mexicains sont invités à participer avec "intelligence, sensibilité et responsabilité" à ce débat "exceptionnel, ouvert et public enrichi par les différentes visions et idéologies qui font cette mosaïque plurielle qu’est heureusement le Mexique".
C’est ainsi que l’a qualifié Alonso Lujambio, secrétaire d’Instruction Publique, qui a personnellement conduit le premier Discutamos México 2010 , que nous vous invitons à regarder ci-dessous (en espagnol)
Source: La Francolatina
La marche vers l’indépendance
L’affranchissement de l’Amérique espagnole à partir de 1810 provoque de nouveaux rapports de force mondiaux : des nations émergent, et l’Europe s’efface progressivement dans la région au profit des Etats-Unis. Les différentes guerres d’indépendance, menées dans de nombreux pays par les libertadores (Simon Bolivar, José San Martin), ont chacune leur spécificité et leur lot d’interventions extra-régionales, de clivages sociaux et d’antagonismes raciaux. L’émancipation du continent ne produit aucun changement profond dans la structure sociale et les strates ethniques des jeunes nations. L’instauration de législations d’inspiration libérale renforce le latifundisme créole au détriment de la propriété communale indigène, et le militarisme survit à la guerre d’indépendance. L’unité politique du continent a volé en éclats, et une partie des jeunes nations, que les années de guerre ont appauvries, se placent sous la tutelle économique de la Grande-Bretagne, puis des Etats-Unis. La formulation, en 1824, de la doctrine Monroe, par laquelle Washington marque son opposition à toute reconquête du continent par les puissances européennes, est le premier pas d’une politique étrangère qui conçoit le continent comme son arrière-cour.
Source: Le Monde Diplomatique
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